[n° ou bulletin]
Titre : | 42 - Mars 2011 - Que faire des soupes plastiques ? | Type de document : | texte imprimé | Année de publication : | 2011 | Importance : | 16p | Langues : | Français | Catégories : | Aménagement:Aménagement du territoire:Communauté Européenn Déchets Déchets:Traitement des déchets:Décharges Partenaires et structures:Collectivité territoriale:Europe Politique
| Note de contenu : | Un nouveau souffle pour les stratégies
de lutte contre la perte de la biodiversité
et les changements climatiques
L’Union européenne et l’ensemble de la communauté internationale
ont commencé l’année 2011 avec la volonté de s’attaquer
à deux des problèmes environnementaux les plus urgents:
la perte de biodiversité et les changements climatiques. Deux
réunions internationales, qui se sont déroulées à des milliers
de kilomètres l’une de l’autre, leur ont donné un nouvel élan,
comme nous l’expliquons dans ce numéro.
La première, à Nagoya, au Japon, en octobre 2010, a débouché
sur un programme stratégique de dix ans, avec des mesures
internationales visant à protéger la biodiversité – une clôture
en beauté pour l’Année internationale de la biodiversité.
La deuxième, à Cancún, au Mexique, en décembre 2010, a marqué
des progrès tout aussi importants dans la lutte contre les
changements climatiques. Les accords politiques convenus lors
des négociations de Copenhague un an plus tôt ont été repris
dans un document officiel des Nations unies.
La Commission européenne travaille à concrétiser ces engagements
en mettant la touche finale à la nouvelle stratégie visant
à enrayer la perte de biodiversité d’ici à 2020. Elle prépare également
la feuille de route à suivre pour instaurer une économie
européenne novatrice générant de faibles émissions de CO2
d’ici à 2050 et pour renforcer l’assistance et l’aide financière
destinées aux pays en développement les plus vulnérables
aux changements climatiques.
Ces deux conférences internationales ont émis deux puissants
messages. Le premier est que les négociations multilatérales
peuvent être fructueuses quand les parties s’engagent. Le
second est que l’Union européenne est un acteur international
extrêmement efficace lorsque tous les éléments qui la composent,
en particulier la Commission européenne, la présidence
tournante, et chacun des États membres travaillent en étroite
collaboration, comme cela a été le cas à Nagoya et à Cancún. | Permalink : | http://pmb.grainecentre.org/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=153 |
[n° ou bulletin]
42 - Mars 2011 - Que faire des soupes plastiques ? [texte imprimé] . - 2011 . - 16p. Langues : Français Catégories : | Aménagement:Aménagement du territoire:Communauté Européenn Déchets Déchets:Traitement des déchets:Décharges Partenaires et structures:Collectivité territoriale:Europe Politique
| Note de contenu : | Un nouveau souffle pour les stratégies
de lutte contre la perte de la biodiversité
et les changements climatiques
L’Union européenne et l’ensemble de la communauté internationale
ont commencé l’année 2011 avec la volonté de s’attaquer
à deux des problèmes environnementaux les plus urgents:
la perte de biodiversité et les changements climatiques. Deux
réunions internationales, qui se sont déroulées à des milliers
de kilomètres l’une de l’autre, leur ont donné un nouvel élan,
comme nous l’expliquons dans ce numéro.
La première, à Nagoya, au Japon, en octobre 2010, a débouché
sur un programme stratégique de dix ans, avec des mesures
internationales visant à protéger la biodiversité – une clôture
en beauté pour l’Année internationale de la biodiversité.
La deuxième, à Cancún, au Mexique, en décembre 2010, a marqué
des progrès tout aussi importants dans la lutte contre les
changements climatiques. Les accords politiques convenus lors
des négociations de Copenhague un an plus tôt ont été repris
dans un document officiel des Nations unies.
La Commission européenne travaille à concrétiser ces engagements
en mettant la touche finale à la nouvelle stratégie visant
à enrayer la perte de biodiversité d’ici à 2020. Elle prépare également
la feuille de route à suivre pour instaurer une économie
européenne novatrice générant de faibles émissions de CO2
d’ici à 2050 et pour renforcer l’assistance et l’aide financière
destinées aux pays en développement les plus vulnérables
aux changements climatiques.
Ces deux conférences internationales ont émis deux puissants
messages. Le premier est que les négociations multilatérales
peuvent être fructueuses quand les parties s’engagent. Le
second est que l’Union européenne est un acteur international
extrêmement efficace lorsque tous les éléments qui la composent,
en particulier la Commission européenne, la présidence
tournante, et chacun des États membres travaillent en étroite
collaboration, comme cela a été le cas à Nagoya et à Cancún. | Permalink : | http://pmb.grainecentre.org/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=153 |
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